TWA FIRST : Décuvrer l'histoire fascinante de TWA et son influence durable sur l'aviation à Paris. Ce chapitre vous emmène dans un voyage à travers le temps, explorant les contributions importantes de l'industrie aérienne et vous présente les personnages emblématiques qui ont marqué cette époque.

Le 5 février 1946, le Constellation "Star of Paris" inaugure un service international pour Trans World Airlines. L'avion utilisé sur ce vol était un Constellation 049 modèle 49-51-26, numéro d'avion NC86505, flotte TWA #550.

Avant le décollage à La Guardia, il a été baptisé par Mme Jack Frye avec Henri Bonnet, ambassadeur de France et Robert Brennan, ministre irlandais aux États-Unis.

L'équipage du "Star of Paris", le Constellation de la TWA qui inaugura le service aérien régulier au-dessus de l'Atlantique.
Le capitaine Hal Blackburn était aux commandes avec lui sur ce vol historique, les co-capitaines Jack Hermann et J. Calder, le commissaire de bord Don Shiemwell, l'hôtesse Ruth Schmidt, l'ingénieur de vol A. Ruhanen et le navigateur M. Chrisman.
Il y avait un total de 36 passagers à bord (4 avaient embarqué à Washington DC d'où le vol était parti).

Nouveau dans le domaine des lignes aériennes internationales, malgré ses débuts en temps de guerre, TWA était confrontée à de nombreux problèmes complexes. L'inauguration du service international nécessitait une mobilisation mondiale des ressources de la compagnie aérienne. Des contacts à l'étranger devaient être établis et le personnel clé formé pour faire fonctionner les bureaux et les bases à l'étranger. Cela devait être fait alors que de nombreux matériaux nécessaires n'étaient pas disponibles et que la pénurie de main-d'œuvre était toujours aiguë. Des accords individuels devaient être conclus avec divers pays, et la compagnie aérienne découvrit bientôt qu'une version privée du Plan Marshall pour le développement de l'aviation dans certains pays devait être entreprise.

Par conséquent, la compagnie aérienne a lancé un programme à grande échelle qui impliquait des investissements financiers et/ou des conseils organisationnels pour de nombreuses compagnies aériennes locales, notamment celles de France (Air France), d'Italie, de Grèce, d'Iran, d'Éthiopie et d'Arabie saoudite... etc...

(Remarque : cet avion a eu une durée de vie plutôt courte - et avec d'autres noms avant d'être baptisé « L'Étoile du Caire » qui s'est terminé par le crash de Shannon en décembre 1946. Extraits également des comptes rendus irlandais du « Début du service transatlantique via SNN » : cet avion NC86505 a été le premier Connie à atterrir à SNN, le 26 novembre 1945 lors d'un vol d'essai depuis Gander en un temps record de 6 h 55 min et le vol de retour du 8 décembre 1945 a également établi un nouveau record de 7 h 46 min vers YQX.


TWA First: Le 13 Mars 1974 à 6 heures du matin, cinq jours après l'inauguration de Paris-Charles-de-Gaulle par le Premier ministre Pierre Messmer, le B747 de la TWA en provenance de New York devient le premier avion commercial à se poser sur le tarmac de CDG.
Vite surnommé le "Camembert" en raison de sa forme circulaire, le "T1" a une capacité annuelle de 10 millions de passagers par an. Il accueille dans un premier temps TWA, puis Pan Am et UTA (qui jusque là était basée au Bourget avec Aeroflot), JAL, Air Canada, Air Afrique et Air France qui y transfère la plupart de ses activités.


TWA First: Le 1er 1985  février Trans World Airline (TWA) Vol n°810 BOS-CDG à opéré le 1er ETOPS DE 120 minutes.
Le vol TWA 810, un Boeing 767-200ER, quittait Boston pour Paris, pour le premier vol commercial de passagers de l'histoire dans le cadre de la règle ETOPS de 120 minutes. Seize pilotes de TWA ont suivi une formation intensive sur simulateur et une formation ETOPS spécialisée qui comprenait l'atterrissage à Sondre Stromfjord, au Groenland, l'aéroport désigné pour le détournement de 120 minutes.

Au départ, TWA appelait ces opérations EROPS (Extended Range Operations).

À bord du TWA 810, onze observateurs de la FAA étaient présents et la consommation de carburant était de 7 000 livres/heure inférieure à celle du Lockheed L-1011 sur la même route. Inutile de dire que les économies démontrées par les 767 de TWA étaient un coup marketing pour Boeing.

TWA était tellement ravie de l'efficacité du 767 avec la règle des 120 minutes qu'elle a dépensé 2,6 millions de dollars par avion pour adapter tous ses 767 à la norme ETOPS de 120 minutes.

Mais Dick Taylor et Boeing ne voulaient pas s'arrêter là. La règle ETOPS de 120 minutes n'était pas suffisante pour permettre aux 767 de voler vers Hawaï.

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